Evangelism

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Working for the Aged

Waiting for the Truth—It is wonderful how many aged people the workers find who need but little labor to lead them to receive the truth, Sabbath and all. Why, they say, this is what we have been praying for. We knew that the Scriptures had much to say upon subjects that the clergymen did not and could not explain to us. These do little else but rejoice in the light and in the truth. Their joy seems to be full.—Letter 18, 1898. Ev 446.3

Life Begins at Conversion—I have just read the following incident: Ev 447.1

“An old man, about seventy or eighty years of age, was once brought to me, as a monument of God's mercy. I asked him how old he was. He looked at me for a little while, and then said in faltering tones, while the tears ran down his cheeks, ‘I am two years old.’ I expressed my surprise, and then he said, ‘Ah, until two years ago I lived the life of a dead man. I never knew what it was to live until I met with the life that is hid with Christ in God.’”—Letter 160, 1903. Ev 447.2

Le travail en faveur des personnes âgées

Des personnes accessibles à la vérité — Il est remarquable de constater que nos pasteurs rencontrent de nombreuses personnes âgées auprès desquelles il faudrait très peu d'efforts pour les amener à accepter la vérité, y compris le sabbat et toutes les autres doctrines. En réalité, disent-elles, c'est dans ce sens que nous priions. Nous savions que la Bible avait beaucoup de choses à dire sur des sujets sur lesquels les ecclésiastiques ne nous donnaient pas et ne peuvent pas nous donner d'explications. Ces personnes âgées ne pouvaient que se réjouir de voir la lumière et de comprendre la vérité. Leur joie semble totale. — Lettre 18, 1898. Év 403.1

La vie commence à la conversion — Je viens de lire le récit suivant: Un vieil homme, de soixante-dix ou quatrevingts ans environ, me fut présenté comme un témoin de la miséricorde divine. Je lui demandai quel était son âge. Après m'avoir regardée quelques instants, il me répondit d'une voix altérée, et tandis que des larmes roulaient sur ses joues: “J'ai deux ans.” Tandis que j'exprimais ma surprise, il ajouta: “Voyez-vous il y a deux ans, mon existence était celle d'un homme mort. Je n'ai jamais su ce qu'était la vie jusqu'à ce que j'aie connu celle qui est cachée avec le Christ, en Dieu.” — Lettre 160, 1903. Év 403.2