Témoignages pour l'Eglise, vol. 1

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Les risques de maladies augmentent

Après avoir réduit leurs forces physiques en diminuant la quantité et la qualité de leur nourriture, certaines personnes concluent que leur ancienne manière de s'alimenter était la meilleure. L'organisme doit être nourri. Cependant, nous n'hésitons pas à dire que la viande n'est pas nécessaire à la santé. C'est le fait d'un appétit dépravé de l'exiger. Son usage excite les tendances animales et renforce les passions. Il s'ensuit une diminution de vigueur intellectuelle et morale. Le corps devient sans cesse plus grossier et l'esprit s'obscurcit. TE1 219.2

Ceux qui se préparent à être saints, purs et sans tâche afin d'entrer bientôt dans la compagnie des anges vont-ils continuer à ôter la vie à des créatures de Dieu pour se nourrir de leur chair et en jouir avec volupté? D'après ce que le Seigneur m'a montré, cet ordre de choses changera et le peuple de Dieu s'imposera toute sorte d'abstinences. Ceux qui consomment de grandes quantités de viande ne peuvent éviter de manger la chair d'animaux plus ou moins malades. Les procédés d'élevage des animaux engraissés pour la boucherie augmentent le nombre de bêtes malades, et seraientils élevés de la meilleure manière la viande n'en serait pas moins échauffée et malsaine à cause du trajet accompli de la ferme au marché. Les humeurs et la chair de ces animaux malades passent directement dans le sang de l'homme et deviennent humeurs et chair de même qualité. Ainsi, des maladies s'introduisent dans l'organisme et, si la personne a déjà un sang impur, la consommation de cette viande aggrave sérieusement la situation. Les risques de maladies sont augmentés dix fois par l'usage de la viande. Cette habitude diminue les forces physiques, intellectuelles et morales. Elle introduit le déséquilibre dans l'organisme, obscurcit l'esprit et émousse le sens moral. Nous vous assurons, cher frère et chère sœur, que vous ferez bien de laisser la viande de côté. TE1 220.1