Témoignages pour l'Eglise, vol. 1

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Mères et filles

Beaucoup de nos sœurs ne savent pas faire la cuisine. Je voudrais leur dire: Même si j'avais quarante ans, j'irais auprès de la meilleure cuisinière qui se puisse trouver dans le pays et j'y resterais aussi longtemps qu'il serait nécessaire pour obtenir la maîtrise dans cet art. C'est votre devoir de savoir cuisiner. Il vous faut ensuite apprendre l'art culinaire à vos filles, car en le faisant vous eleverez autour d'elles une barrière qui les préservera des folies et des vices dans lesquels elles pourraient être tentées de se laisser entraîner. J'apprécie ma couturière, je sais la valeur de ma secrétaire, mais celle qui occupe la place la plus importante à mon foyer, c'est ma cuisinière, qui connaît parfaitement comment préparer la nourriture qui entretient la vie et fortifie le cerveau, les os et les muscles... TE1 214.2