Evangelism

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Adequate Wages for Women Workers

To be Paid as Verily as Their Husbands—When it is possible, let the minister and his wife go forth together. The wife can often labor by the side of her husband, accomplishing a noble work. She can visit the homes of the people and help the women in these families in a way that her husband cannot.... Ev 491.1

Select women who will act an earnest part. The Lord will use intelligent women in the work of teaching. And let none feel that these women, who understand the Word, and who have ability to teach, should not receive remuneration for their labors. They should be paid as verily as are their husbands. There is a great work for women to do in the cause of present truth. Through the exercise of womanly tact and a wise use of their knowledge of Bible truth, they can remove difficulties that our brethren cannot meet. We need women workers to labor in connection with their husbands, and should encourage those who wish to engage in this line of missionary effort.—Letter 142, 1909. Ev 491.2

Sacrificing Not to Be Limited to Faithful Women—A great work is to be done in our world, and every talent is to be used in accordance with righteous principles. If a woman is appointed by the Lord to do a certain work, her work is to be estimated according to its value. Every laborer is to receive his or her just due. Ev 491.3

It may be thought to be a good plan to allow persons to give talent and earnest labor to the work of God, while they draw nothing from the treasury. But this is making a difference, and selfishly withholding from such workers their due. God will not put His sanction on any such plan. Those who invented this method may have thought that they were doing God service by not drawing from the treasury to pay these God-fearing, soul-loving laborers. But there will be an account to settle by and by, and then those who now think this exaction, this partiality in dealing, a wise scheme, will be ashamed of their selfishness. God sees these things in a light altogether different from the light in which finite men view them. Ev 491.4

Those who work earnestly and unselfishly, be they men or women, bring sheaves to the Master; and the souls converted by their labor will bring their tithes to the treasury. When self-denial is required because of a dearth of means, do not let a few hard-working women do all the sacrificing. Let all share in making the sacrifice. God declares, I hate robbery for burnt offering.—Manuscript 47, 1898. Ev 492.1

To Be Paid From the Tithe—The tithe should go to those who labor in word and doctrine, be they men or women.—Manuscript 149, 1899. Ev 492.2

A Procedure Which Will Limit Women Workers—Injustice has sometimes been done to women who labor just as devotedly as their husbands, and who are recognized by God as being necessary to the work of the ministry. The method of paying men laborers, and not paying their wives who share their labors with them, is a plan not according to the Lord's order, and if carried out in our conferences, is liable to discourage our sisters from qualifying themselves for the work they should engage in. God is a God of justice, and if the ministers receive a salary for their work, their wives who devote themselves just as disinterestedly to the work, should be paid in addition to the wages their husbands receive, even though they may not ask for this. Ev 492.3

Seventh-day Adventists are not in any way to belittle woman's work. If a woman puts her housework in the hands of a faithful, prudent helper, and leaves her children in good care, while she engages in the work, the conference should have wisdom to understand the justice of her receiving wages.—Gospel Workers, 452, 453 (1915). Ev 492.4

God Has Settled This Question—If women do the work that is not the most agreeable to many of those who labor in word and doctrine, and if their works testify that they are accomplishing a work that has been manifestly neglected, should not such labor be looked upon as being as rich in results as the work of the ordained ministers? Should it not command the hire of the laborer? ... Ev 493.1

This question is not for men to settle. The Lord has settled it. You are to do your duty to the women who labor in the gospel, whose work testifies that they are essential to carrying the truth into families. Their work is just the work that must be done, and should be encouraged. In many respects a woman can impart knowledge to her sisters that a man cannot. The cause would suffer great loss without this kind of labor by women. Again and again the Lord has shown me that women teachers are just as greatly needed to do the work to which He has appointed them as are men.—Manuscript 142, 1903. Ev 493.2

Un juste salaire pour les femmes travaillant au service de l'Évangile

A travail égal, salaire égal — Quand cela est possible, que le prédicateur et sa femme aillent ensemble. Souvent, l'épouse peut travailler aux côtés de son mari, et accomplir une noble tâche. Elle peut visiter les foyers et venir en aide aux femmes d'une manière qui n'est pas à la portée des maris. ... Év 441.2

Choisissez des femmes qui travailleront avec sérieux. Le Seigneur emploiera des femmes intelligentes pour l'enseignement. Et que personne ne pense que ces femmes, qui comprennent la Parole, et qui sont capables d'enseigner, ne doivent pas être rétribuées pour leur travail. Elles devraient être payées aussi bien que leurs maris. Dans l'œuvre qui consiste à présenter la vérité, les femmes ont un rôle important à jouer. Grâce à leur délicatesse féminine et en usant de leur connaissance de la vérité biblique, elles peuvent surmonter des difficultés que nos frères ne sont pas capables de vaincre. Nous avons besoin de femmes qui travaillent en collaboration avec leur mari, et nous devrions encourager celles qui désirent se consacrer à ce type d'action missionnaire. — Lettre 142, 1909. Év 441.3

Une grande œuvre doit être accomplie dans notre monde, et chaque talent doit être employé selon des principes équitables. Si une femme est appelée par le Seigneur à accomplir une tâche donnée, son travail doit être apprécié à sa juste valeur. Chaque ouvrier, chaque ouvrière doit recevoir ce qui lui est dû. Év 442.1

On peut penser que c'est une bonne chose d'accepter que des personnes consacrent leurs talents et leurs efforts sincères à l'œuvre de Dieu, sans percevoir aucun salaire. Mais c'est là une injustice, puisqu'on refuse de payer à ces ouvriers ce qui leur est dû. Dieu n'approuvera certainement pas une telle pratique. Ceux qui ont imaginé ce système ont pu croire qu'ils rendraient service à Dieu en ne puisant pas dans le trésor pour rétribuer ces gagneurs d'âmes qui craignent le Seigneur. Mais l'heure de la juste rétribution viendra en son temps; alors, ceux qui ont conçu cette manière d'agir et qui ont cru ainsi faire preuve de sagesse seront couverts de confusion à cause de leur égoïsme. Dieu voit les choses sous un angle tout à fait différent de celui qu'envisagent les hommes avec leurs limites. Év 442.2

Qu'ils soient hommes ou femmes, ceux qui travaillent avec sérieux et qui se dépensent sans compter apportent des gerbes au Maître; et les personnes converties grâce à leurs efforts verseront leurs dîmes au trésor. Quand il faut recourir à l'abnégation à cause du manque de moyens financiers, qu'on ne permette pas à quelques femmes qui peinent à la tâche de faire à elles seules le sacrifice, mais que celui-ci soit partagé entre tous. “Je hais ce qui est injustement dérobé”. Ésaïe 61:8 (La Pléiade). — Manuscrit 47, 1898. Év 442.3

L'utilisation de la dîme — La dîme doit être destinée à rétribuer ceux qui travaillent au service de la Parole et de la doctrine, qu'ils soient hommes ou femmes. — Manuscrit 149, 1899. Év 442.4

Ce qui peut réduire le nombre de femmes travaillant au service de Dieu — On a parfois été injuste avec des femmes qui étaient tout aussi dévouées que leur mari et dont Dieu reconnaît qu'elles sont utiles dans le ministère. La pratique qui consiste à payer les hommes et à ne pas payer les femmes, lorsqu'elles collaborent avec eux, n'est pas en harmonie avec la volonté du Seigneur. Si nos fédérations agissent ainsi, on risque de décourager nos sœurs de se préparer pour une œuvre dans laquelle elles devraient s'engager. Dieu est un Dieu de justice; si donc les prédicateurs recoivent un salaire pour leur travail, leurs épouses qui se dévouent d'une manière aussi désintéressée qu'eux devraient également être rétribuées en plus du traitement de leur mari, même si elles n'en expriment pas le désir. Év 442.5

Les adventistes du septième jour ne doivent en aucune façon sous-estimer le travail des femmes. Si une femme confie le soin de sa maison à une personne fidèle et sage, et que la garde de ses enfants est convenablement assurée, alors qu'elle-même se consacre à l'œuvre du Seigneur, la fédération dont elle dépend devrait avoir la sagesse de comprendre qu'il est juste de la rétribuer. — Ministère évangélique, 441, 442 (1915). Év 443.1

Si les femmes accomplissent la tâche qui, pour beaucoup de ceux qui travaillent au service de la Parole et de la doctrine, n'est pas la plus agréable, et si le travail de ces femmes témoigne qu'elles accomplissent une œuvre qui a été manifestement négligée, leur labeur ne devrait-il pas être considéré comme aussi prometteur que celui des prédicateurs consacrés, ne justifie-til pas le salaire de celles qui travaillent ainsi? ... Év 443.2

Ce n'est pas aux humains de trancher en la matière. Le Seigneur s'est prononcé sur ce point. Vous devez faire votre devoir à l'égard des femmes qui travaillent pour l'Évangile, dont les efforts prouvent qu'elles font une œuvre primordiale pour faire connaître la vérité dans les familles. La tâche qu'elles accomplissent est exactement celle qui doit l'être, et elle mérite d'être encouragée. A bien des points de vue, une femme peut instruire d'autres femmes d'une manière qui n'est pas à la portée d'un homme. La cause subirait une grande perte si elle devait se priver du précieux concours des femmes. A réitérées fois, le Seigneur m'a montré que les sœurs qui enseignent sont tout aussi utiles que les hommes pour faire le travail auquel il les a destinées. — Manuscrit 142, 1903. Év 443.3